From every hill slope came the trickle of running water, the music of unseen fountains. All things were thawing, bending, snapping.
Jack London, the Call of the Wild*
Près d’un lac allongée, entourée de mimosa, et de mes nouvelles trouvailles: il y a les Derniers poèmes de W.B Beats traduits de l’anglais par J.Y Masson. Mais aussi deux ouvrages bilingues afin de perfectionner mon anglais: Jack London, the Call of the Wild et Ernest Hemingway, the Northern Woods. Un weekend films, pendant lequel les incontournables ont été mis à l’honneur: Paul Newman dans l’Arnaqueur et La Chatte sur un toit brûlant, Down by law avec Tom Waits et Roberto Benigni ainsi que le terrible Les nains aussi ont commencé petit- Auch zwerge haben klein angefangen, Werner Herzog.
Mes poses déjeuners furent accompagnées de nouvelles partitions musicales offertes lors de mon passage au Musée de Cluny à Paris- de la musique Al-andalous médiévale qui respire le silence et le tempo juste, ainsi que L’Arbre de Mai, chansons et danses au temps de Guillaume Dufay- chansons païennes, populaires ou de cours. Vièles, cornet à bouquet et cornet muet, luths, guiterne et percussions…
Quelques biscuits dérobés lors d’une de mes promenades dans les passages couverts de Paris, à la Cure Gourmande agrémentent mes après-midi, et de nouvelles idées pour affiner la décoration et l’ameublement de mon appartement me viennent en tête- vases à biscuits, grands petits et multiformes, ainsi que des présentoirs à desserts ou entre-mets.
Situations absurdes, confrontation avec l’extrême- la sauvagerie habillée de talons hauts est des plus féroce!
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